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L'Aiguille Durand est située à l'extrémité orientale la Crête de Costerillou au Balaïtous, à la jonction avec la Crête du Diable [1].
En 1873, le guide et chasseur Clément Latour découvrit le passage (future brèche Latour) pouvant permettre d'atteindre le Balaïtous par le sud.
La même année, il mena Hubert Durand (1847-1922) au sommet du Balaïtous par cette brèche. [2]
Quelques jours plus tard il y mena par le même itinéraire Edouard Wallon.
En 1911, elle fut gravie par George Cadier (1874-1952) et Edouard Cadier (1881-1958).
En 1913, dans son ouvrage "Au Pays des Isards, Un Grand Pic" George Cadier baptisa cette aiguille du nom de Hubert Durand.
Il ajouta cependant : "D'ailleurs, sur les campaniles du massif où trôneront les noms de Peytier et de Hossard, le nom de leur frère d'armes, l'autre Durand, celui qui vainquit le Pelvoux, sera bien à sa place." [3]
La brèche qui jouxte à l'ouest cette aiguille est parfois appelée Brèche Durand.
Miguel ANGULO - Pyrénées 1000 ascensions II du Somport au Vignemale - Elkarlanean 1994 - Carte p. 186-187; Dessin p. 177
George CADIER - Un Grand Pic : Marmuré et Costerillou - In : La Montagne, Revue mensuelle du Club Alpin Français - Juillet 1912 - Carte esquisse p.360-361 - Numérisé et mis à disposition par gallica.bnf.fr
George CADIER - Au pays des isards, Un Grand Pic - Les Amis du Livre Pyrénéen 1968 - p. 118-119; Carte esquisse
Robert OLLIVIER, Gaston BOISSON, Jean RAVIER, Pierre RAVIER - Pyrénées occidentales II - De la Vallée d'Ossau au Val d'Azun - Ollivier R. 1963/1976 - p. 287; 292-293